Une revendication de longue date pour les chauffeurs qui expliquent que l'évolution de leur métier le rend plus pénible qu'il y a quelques années. Des demandes de rendements plus importantes d'une part et d'autre part l'amélioration de la logistique embarquée qui diminue le plaisir des chauffeurs et augmente leur sentiment de "flicage". Un point que souligne le journal 20 minutes et France Bleu avec deux portrait de chauffeurs routier en janvier 2015.
Autre réclamation des conducteurs de poids lourd, conserver le paiement comme
heures travaillées du temps d'attente. Un élément que certains patrons
voudraient revoir, et qui pourraient leur permettre de changer d'avis sur la
revalorisation des salaires s'il ne devait plus payer les temps d'attente. Une
impasse dans le dialogue entre les formations syndicales et patronales, comme
le soulevait à l'époque Le Monde dans un article de janvier 2015.
Ce débat du paiement du temps d'attente, que certains considèrent comme nouveau, ne date pourtant pas d'hier. En 1996 déjà, on peut entendre un chauffeur soulever la question dans les archives de l'Institut national del'audiovisuel.
Heureusement, malgré tous les problèmes que peut rencontrer la filiale du fret routier, le secteur reste un domaine qui attire de nouveau adhérents. Un phénomène qu'explique la revue Les Routiers dans un de ses articles datés de mai dernier.
En effet, le métier de chauffeur routier reste, pour beaucoup d'entre eux, une passion. En atteste les multiples compétitions de courses, figures et défis. Le dernier en date, un concours récompensant le meilleur jeune conducteur européen (YETD : Young European Truck Driver), s'est déroulé le mois dernier. Et il a été remporté par un Danois. Chaque pays de l'Union Européenne est représenté par un chauffeur de poids lourd qui doit passer plusieurs épreuves. Et pour cette édition 2015, la compétition à été remporté par un Danois, comme l'explique Scandia, l'organisateur du concours, dans un compte-rendu.
En conclusion, le métier de chauffeur routier est encore et toujours un métier de passionnés, qui mettent de côtés les difficultés liées à la profession, comme le temps passé sur la route, la fatigue et l'éloignement, pour donner le meilleur d'eux-mêmes. Et ces conducteurs savent, par ce biais, transmettre aux générations futures leur amour de l'aventure.
Ce débat du paiement du temps d'attente, que certains considèrent comme nouveau, ne date pourtant pas d'hier. En 1996 déjà, on peut entendre un chauffeur soulever la question dans les archives de l'Institut national del'audiovisuel.
Heureusement, malgré tous les problèmes que peut rencontrer la filiale du fret routier, le secteur reste un domaine qui attire de nouveau adhérents. Un phénomène qu'explique la revue Les Routiers dans un de ses articles datés de mai dernier.
En effet, le métier de chauffeur routier reste, pour beaucoup d'entre eux, une passion. En atteste les multiples compétitions de courses, figures et défis. Le dernier en date, un concours récompensant le meilleur jeune conducteur européen (YETD : Young European Truck Driver), s'est déroulé le mois dernier. Et il a été remporté par un Danois. Chaque pays de l'Union Européenne est représenté par un chauffeur de poids lourd qui doit passer plusieurs épreuves. Et pour cette édition 2015, la compétition à été remporté par un Danois, comme l'explique Scandia, l'organisateur du concours, dans un compte-rendu.
En conclusion, le métier de chauffeur routier est encore et toujours un métier de passionnés, qui mettent de côtés les difficultés liées à la profession, comme le temps passé sur la route, la fatigue et l'éloignement, pour donner le meilleur d'eux-mêmes. Et ces conducteurs savent, par ce biais, transmettre aux générations futures leur amour de l'aventure.
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